plongeon vers les enfers, de ceux qui se font réfractaire à la moindre aide pour mieux subvenir à cette famille dont le noyau n’est qu’éclaté. seulement quelques mois à se concentrer uniquement sur sa personne que l’impression que tout part en cacahouète dès que son dos se tourne. matriarche bien trop âgée pour leur coller un nouveau gamin dans les pattes quand les plus vieux sont déjà ceux venant éduquer les plus jeunes. il en était là, à dénoter avec son environnement naturel. pris au piège de l’attente que la masterclass de danse se termine pour récupérer sa plus jeune sœur. celle venant prendre comme idée fantaisiste de devenir une danseuse sans comprendre un seul moment les galères de la profession. avait-il trop gâté les plus jeunes qu’ils ne pouvaient se souvenir des galères de la famille pendant des années ? à devoir charbonner dès qu’un avait un faciès un peu plus âgé pour prendre un travail à mi-temps. insouciance de la nouvelle génération dont il n’avait que de mal à comprendre son fonctionnement. l’écart qui n’aide point tandis que les passants s’arrêtent pendant quelques instants pour se poser la question de la paternité. ils se la posaient déjà tous, l’unique point commun des plus vieux de ne pas connaître leur géniteur tandis qu’ils avaient une bonne mémoire de ces bons à rien venant abandonner les plus jeunes dès l’annonce d’une grossesse de la matriarche. sylphide venant libérer les étudiants du labeur de la journée. les traits familiers pourtant il serait incapable de venir mettre le doigt sur le prénom de la demoiselle. quelque chose avec soo ou bien su ? à s’en racler la gorge pour annoncer sa présence sans la prendre au dépourvu. soobin ? ouais ça devait bien être ça non ? mais où il l’a connaissait, souvenirs bien trop flous.