watch me, don’t touch me@tsukishima kana— chill, je serais de retour pour la préparation et la performance. retour brutal sur le continent, passant du farniente de jeju face à une ville qui ne dort point. capitale avec laquelle il n’avait que du mal, l’enfant de l’île préférant vagabonder dans la nature plutôt que dans les ruelles bondées de séoul. kakaotalk devenant l’application de référence de ces derniers temps, à échanger de manière presque régulière avec la sublime. pincement s’opérant sur le palpitant à chaque fois que l’icon venait à apparaître. addict à la moindre interaction pour mieux chasser ce qu’il savait déjà qu’il ne pourrait tenir. belles paroles n’affichant aucunes actions décisives malgré les années. carrière comme obstacle insurmontable, à ne point voir ce qu’il pourrait y faire. pourtant, il était bien présent. à ses côtés. à l’université de yonsei. période des festivals venant offrir rare emmêlement de leurs emplois du temps respectifs. rendez-vous pris par message, environnement paisible avant le début des festivités en fin d’après-midi. casquette et masque venant cacher une partie de son visage, saison des allergies de toute manière et avec le soleil ambiant, c’était parfait comme déguisement. silhouette reconnaissable entre toutes. celui ayant longtemps parcouru son corps, effleuré cent fois son visage. venant dans son dos pour mieux la surprendre. pas aussi bien que mon motel bien fancy, hein ? paroles qu’il tiendrait dans les prochains mois. du moins, il l’espérait.