crossroads

l’appel fatidique. réveil à plonger l’encéphale dans une myriade d’hypothétiques scénarios. à s’en faire jeter de l’agence ou encore enfin une nouvelle opportunité lors de la musique ? prisonnière des décisions de ces exécutifs avec leurs beaux costumes n’arrivant point à comprendre la désespération de ses traits quand les royalties de leurs chansons n’en suffisent plus pour soutenir son train de vie. loin de ces poupées à la jeunesse éternelle de l’agence, quotidien venant s’inscrire dans une banalité de normalité. d’un simple appartement quand des gamines plus jeunes dévoilent la penthouse que leur carrière leur offre.
loin d’elle d’avoir le moindre espoir pour un sursaut d’intérêt de l’agence. simplement effrayée par l’idée d’avoir un comeback et remonter sur scène prochainement. l’arrivée à la mystic se fait dans le plus grand des silences, œillades de certains employés connaissant que trop bien la déchéance des activités du groupe. la porte ouverte que son regard se porte sur l’employée de la mystic. femme qu’elle replaçait dans l’équipe de communication de crise à l’époque de ses débuts. à n’en point suivre les évolutions de carrière des employés de l’agence quand ils en avaient clairement plus qu’elle sur le long terme.
haru qui devient la variable incompréhensible dans l’équation. les sourcils se froncent pour mieux se poser sur un des sièges de la salle. so what kind of communication trouble my junior bring upon the agency and me that i’m here today? à tenter l’humour en reference à l’ancien poste de l’employée pour mieux justifier sa présence.  si seulement. pour mieux se prendre le retour de baton par la femme. got promoted years ago pailin. i’m here because we got a golden opportunity for you two and no is not an answer we will accept. à en utiliser son prénom complet pour mieux la remettre à sa place tandis que l’idole s’enfonce dans son fauteuil en accordant de rapide regards à haru.

@seong haru