❛ crimson ; dain.

y’a des déluges discrets, ceux qu’on ne peut admirer sans se dire qu’ils nous cachent quelque chose. puis, il y a les chérubins à l’écarlate embrasé de pénombre ; les ailes écrasées si elles ont déjà pu exister. douceur mensonge, égocentrisme immense de la demoiselle. puisqu’elle mérite les cendres de son cocon, arrogance sur ses lèvres et sourire éloquent de sa catastrophe. elle s’amuse, l’enfant richesse, à manipuler les mirages où les nuances pourraient faire qu’elle devient éternelle pureté. divine comédie, sacrifice des empyrées, quand tout sait qu’elle a valsé avec dangereuse passion.

ils ne se connaissent pas bien encore, des simples messages envoyés depuis quelques temps. une relation pansement, elle sait qu'il est venu pour sauver les balafres du pulsant. et puis, elle aussi, elle en a besoin. angélique à la couronne bien lointaine, elle se sent déesse dans ces moments soyeux. ouvrage audacieux, chaleur des pleures, ivresse caresse.
tandis que l'insolence est toujours niché sur leurs lèvres ; avide d'animer encore plus les désastres de l'autre. ils se rejettent, pour mieux se rejoindre.
y'a cet univers qu'ils créent, e n s e m b l e.
à devenir rayures sur les paysages, chaos qu'ils ne peuvent s'échapper d'inspirer.

à l'apocalypse, ils ont tout démarré.
killing o b s e s s i o n.